Septembre - Semaine 1

Bonjour chers parents,

 

Je voulais vous informer que notre semaine s'est très bien déroulée. Nous apprenons à bien placer nos sacs et manteaux dans le vestiaire, à respecter le droit de parole, à bien s'installer au tapis et jouer de façon harmonieuse avec les autres.

 

Je profite de ce moment pour vous décrire, en quelques mots, les apprentissages qui ont été réalisés cette semaine en classe. En grand groupe, nous avons fait :

  • un jeu pour pratiquer notre rang;

  • un jeu de ballon pour apprendre à attendre son tour;

  • des jeux au parc; 

  • des jeux libres et nous avons appris le fonctionnement pour l'inscription lors de cette période;

  • l'apprentissage d'une comptine pour la position d'écoute (voir image ci-dessous);

  • un jeu pour apprendre le prénom des amis de la classe;

  • la lecture de plusieurs petites histoires.

 

Avant de vous quitter, j’ai quelques informations importantes à vous transmettre.

  • Le temps froid arrivera à grands pas et nous passerons plus de 20 minutes à l’extérieur tous les jours. S’il vous plaît, prévoir du linge chaud et des souliers de rechange si votre enfant part de la maison en bottes.

  • Je vous souligne l'importance de bien regarder le messager chaque jour.

  • Si donnez un coupon pour un repas chaud ou froid à votre enfant, celui-ci doit être placé dans le messager, bien à la vue.

Merci pour votre précieuse et continuelle collaboration ! 

 

Mme Véronique et Mme Paule

 

 


Notre nouvelle petite comptine


Article de la semaine

Disponible au : http://papapositive.fr/5-astuces-de-discipline-positive/

5 ASTUCES DE DISCIPLINE POSITIVE POUR TOUS LES PARENTS

Le livre « la discipline positive » de Jane Nelsen contient de nombreux conseils pour être à la fois ferme et bienveillant. Et oui, ce n’est pas antinomique !

Afin d’illustrer ce principe, je vous invite à découvrir 5 astuces extraites du livre.

  1. Être le miroir de l’enfant
    Plutôt que de reprocher une chose à l’enfant, il est judicieux de lui de décrire ce que vous voyez en formulant une phrase telle que celle-ci : « Je vois que ton vélo est dehors et il commence à pleuvoir ». Cette manière de procéder ne place pas en défaut l’enfant qui va comprendre par lui-même ce qu’il doit faire. Cette notion de miroir sert également à valider les émotions (et à développer l’intelligence émotionnelle et relationnelle) : « Je vois que ceci te rend triste ».
  2. Être attentif
    Un des besoins fondamentaux de l’enfant est l’attention qu’on lui porte. Donc prenons l’habitude de leur accorder totalement. Cette attention s’exprime surtout par une attitude et par des mots. L’attitude inclut le regard (en se baissant au même niveau pour se connecter) et la posture d’écoute. Les mots appuient cette attitude : « je vois que… » « j’ai l’impression que tu es fatigué » « j’aime te voir lire. » Si nous ne pouvons pas accorder tout de suite une attention totale, prenons 30 secondes pour l’expliquer à l’enfant et assurons-le que nous nous libérons dès notre tâche terminée. Ces 30 secondes sont souvent suffisantes pour apaiser un enfant dans un premier temps. Notez que tenir notre promesse est essentiel.
  3. Enseigner aux enfants ce qu’ils peuvent faire
    Au lieu de dire aux enfants ce qu’ils ne doivent pas faire, indiquons-leur et montrons-leur ce qu’ils peuvent faire. Exemple :  » Ne cours pas ! » deviendra « Marche doucement » ou encore « Ne touche pas à la lampe ! » deviendra « Tu peux jouer avec les casseroles ». On peut aussi les aider à apprendre en leur posant des questions : « Comment fais-tu pour marcher doucement ? » « Où joue-t-on à la balle ? ». Donnez ainsi la règle, par la limite !
  4. Montrer sa confiance
    Un enfant en qui on a confiance fait des miracles ! Si une erreur est commise, inutile de reprocher, faire la morale ou se substituer à l’enfant, dites-lui « J’ai confiance en toi pour réparer cela ». C’est en testant et en ajustant qu’on apprend et qu’on devient autonome.
  5. Choix limités
    Pour guider un enfant et augmenter son engagement, inutile de lui ordonner de faire telle ou telle chose. Proposez-lui plutôt des choix limités : « Tu préfères enfiler ce pantalon vert ou ce jogging rouge ? » « On va à la voiture en sautillant comme des lapins ou en marchant comme des crabes ? » « Tu préfères te brosser les dents maintenant ou après avoir mis ton pyjama ? » Cette méthode apprend à l’enfant à prendre des décisions et à analyser leurs conséquences. Il gagne ainsi en autonomie.